lördag 18 juni 2011

Uribe no es más profesor en Metz: La movilización ciudadana dió sus frutos




Jürgen Klute, diputado europeo alemán y miembro de la asamblea parlamentaria EuroLat, fue el promotor de una carta de protesta contra el nombramiento de Uribe en Francia, firmada por más de 30 diputados europeos y franceses. El declara: "Nos felicitamos de esta noticia y esperamos que Uribe sea declarado persona no grata en todas las instituciones de educación" Prosigue: " La presidencia de Uribe, del 2002 al 2010, se caracterizó por graves violaciones de derechos humanos, y esta en acusación en este mismo momento en Colombia. Esperamos que responda de sus actos frente a las víctimas. Para nosotros es impensable que un personaje con ese pasado pueda recibir una tribuna para enseñar aquí o en cualquier otra parte del mundo".

Marie-Christine Vergiat, responsable de la comisión de los derechos humanos del Parlamento Europeo para el grupo GUE/NGL, invitada por varios partidos políticos y organizaciones de derechos humanos, participó en Metz a una manifestación frente a la escuela de ingenieros para expresar su indignación frente a este nombramiento. Ella declara: "El hecho de que Uribe renuncie a enseñar en Metz es una victoria para todos los que luchan por el reconocimiento de las violaciones de derechos humanos cometidas bajo el mandato de Uribe; es todavía mas importante ya que la Unión Europea esta negociando un acuerdo de Libre Comercio con Colombia, país en el cual los crímenes cometidos bajo la presidencia de Uribe esta aún en la impunidad. Tengo la voluntad de convencer todos aquellos que piensan que los intereses económicos son más importantes que los derechos  humanos que tienen una visión errónea. En Metz, esta victoria muestra que una movilización ciudadana puede convencer que los derechos humanos deben ser respectados en todo el mundo. La Unión Europea debe tomar acto y actuar en consecuencia"
 
Uribe n'est plus professeur en France: la mobilisation citoyenne a porté ses fruits

Jürgen Klute, député européen allemand, et membre de l'assemblée parlementaire EuroLat, a été l'initiateur d'une lettre de protestation contre la nomination d'Uribe, signée par plus de 30 députés européens et français. Il déclare : "Nous recevons avec joie cette nouvelle et nous espérons qu'Uribe sera déclaré persona non grata dans tous les autres  établissements d’enseignement" Il poursuit : "La présidence d'Uribe, de 2002 à 2010, s'est caractérisée par de graves  violations des droits humains, et il est mis en accusation en ce moment même en Colombie.  Nous espérons qu'il répondra de ces actes devant les  victimes. Pour nous,  il est impensable qu’un personnage avec un tel passif, puisse recevoir une tribune pour enseigner ici ou ailleurs.

Marie-Christine Vergiat, responsable de la commission des droits de l'Homme du Parlement Européen pour le groupe GUE/NGL, invitée par plusieurs partis politiques et organisations des droits de l'Homme, a participé à Metz à une manifestation  devant l'école d'ingénieurs  pour exprimer son indignation face à cette nomination. Elle déclare : " Le fait qu'Uribe renonce à enseigner à Metz est une victoire pour tous ceux qui se battent pour la reconnaissance des violations des droits de l'Homme commises sous la mandature d'Uribe ; c'est d'autant plus important que l'Union européenne est en train de négocier un accord de Libre échange avec la Colombie, pays dans lequel les crimes commis sous la présidence Uribe restent toujours impunis. J'ai la volonté de convaincre tous ceux qui pensent que les intérêts économiques doivent primer sur les droits de l'Homme qu'ils ont une vision erronée des choses. A Metz, cette victoire montre qu'une mobilisation citoyenne peut convaincre que les droits de l'Homme doivent être respectés partout dans le monde. L'Union européenne doit en prendre acte et agir en conséquence."



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